Sans crainte
Ce travail s'inspire directement de l'esthétique des Larmes de Man Ray (1932,1933). Si chez Ray nous reconnaissons le sexe du modèle uniquement par le maquillage qu'elle porte, je joue ici sur l'ambiguïté du genre. "Madame, pleurez sans crainte pour vos beaux yeux" disait la publicité de l'époque. Aujourd'hui, pleurez tous et toutes, sans crainte.